Pour une politique agricole offensive...
Voici les diapositives de la présentation du GPAO lors de la soirée de la soirée du Club des ingénieurs agronomes du canton de Fribourg le 30 mars 2007 au restaurant de la Croix Blanche (photo) à Posieux.
> Ein Agrarfreihandelsabkommen mit der E.U. ... eine Zukunft für die schweizerische Landwirtschaft !
> Un accord de libre-échange agricole avec l'U.E. ... un avenir pour l'agriculture suisse !
Über uns ?
Innerhalb der Landwirtschaft sind heute Viele verunsichert, weil sie kein Ziel für die langfristige Ausrichtung der laufenden Reformen der Agrarpolitik und auch keine Perspektiven mehr erkennen können. Die GOAP glaubt, dass durch die Integration in den europäischen Markt die Landwirtschaft beides wieder erhält. Sie ist der Meinung, dass eine offensive Auseinandersetzung letztlich für eine produzierende Landwirt-schaft besser ist als passives Erdauern letztlich unausweichlicher Entwicklungen. Sie setzt sich deshalb für den Abschluss eines Freihandelsabkommens im Agrar- und Lebensmittelbereich mit der EU ein.
Qui sommes-nous?
Dans le milieu agricole, de nombreuses personnes sont à l’heure actuelle insécurisées, car elles considèrent que la réforme de la politique agricole n’a plus d’objectif clair et ne leur offre aucune perspective. Le GPAO est de l’avis que l’intégration au marché européen de l’agriculture et de l’industrie agroalimentaire est le moyen de remédier à cet état de fait. De plus, il considère qu’il vaut mieux se montrer offensif pour sauvegarder une agriculture productive dans notre pays plutôt que de subir passivement ce qui va de toute façon nous arriver. C’est pourquoi le GPAO s’engage pour faire aboutir un accord de libre échange avec l’UE pour l’agriculture et le secteur agroalimentaire.
Ausgangslage - Ziel der Gruppe - Organisation
Die nun schon seit über 10 Jahre laufende Reform unserer Agrarpolitik ist weit besser als ihr Ruf. Die Ziele und die Umsetzung sind nach wie vor richtig und die Resultate bis heute gut. Von vielen in der Landwirtschaft wird die Reform trotzdem als "schleichende" Verschlechterung empfunden. Sie glauben, dass ihre erbrachten Reformleistungen relativ schnell in Vergessenheit geraten oder nicht in genügendem Ausmasse an den Konsumenten weitergegeben werden. Besonders belastend wirkt, dass kein Ende in Sicht ist. Für economiesuisse dagegen ist die Landwirtschaft zu teuer und für eine Mehrheit der Konsumenten ist der Preis immer noch ein wichtiges Kriterium beim Einkaufen. Es stellt sich somit die grundsätzliche Frage, ob die Reform nochmals 10 Jahre so weitergeführt werden soll oder ob nicht eine rasche Öffnung zum europäischen Markt, mit entsprechenden Begleitmassnahmen letztlich für die Landwirtschaft die bessere Lösung wäre.
Die Arbeitsgruppe ist der Meinung, dass eine rasche Marktöffnung gegenüber Europa, sowohl für Produkte wie für Produktionsmittel, der Landwirtschaft aber auch der Verarbeitungsindustrie besser Entwicklungschancen bietet als die Weiterführung der Politik der kleinen Schritte. Sie befürchtet, dass allein mit der Umsetzung der AP 2011 die Marktanteile nicht gehalten werden können.
Die Gruppe ist politisch unabhängig und arbeitet auf freiwilliger Basis. Sie setzt sich im politischen Meinungsbildungsprozess für ein Freihandelsabkommen im Agrar- und Lebensmittelbereich mit der EU ein. Die Aktivitäten werden koordiniert durch:
- Burger Hans, Ch. de Morvin 2, 1723 Pierrafortscha, Sekretariat
- Janin Jacques, 1052 Le Mont-sur-Lausanne, Koordination Westschweiz
- Lehmann Bernard, 5200 Brugg, wissenschaftliche Begleitung bis 1.7.2011 (heute Direktor Bundesamt für Landwirtschaft)
- Niklaus Ulrich, 8564 Engwilen, Koordination Deutschschweiz
- Pellaux Michel, 1473 Châtillon, Verbindung Verarbeitungsindustrie
Etat de la situation - Objectifs du groupe - Organisation
Contrairement à ce qui est souvent affirmé, la profonde réforme de notre politique agricole engagée il y a plus de 10 ans est efficace. Les objectifs fixés et les mesures mises en place sont toujours justes et les résultats atteints jusqu’ici sont impressionnants. Toutefois, bons nombre d’agriculteurs ne sont pas de cet avis et considèrent que cette réforme ne sert pas à grand chose: en effet, les améliorations de compétitivité réalisées et la baisse des prix n’auraient pas été du tout ou que partiellement reportées sur les consommateurs alors que les critiques vis-à-vis de l’agriculture sont toujours aussi vives. Enfin, ce qui est surtout préoccupant, le bout du tunnel n’est pas encore en vue. Au contraire, on voit par exemple economiesuisse prétendre que l’agriculture coûte beaucoup trop; quant aux consommateurs, c’est encore le prix qui détermine le plus souvent leur achat. La question qui se pose est donc celle de savoir si cette réforme doit encore une fois être prolongée de 10 ans au même rythme ou si une ouverture rapide au marché européen avec des mesures d’accompagnement ne serait pas finalement une meilleure solution pour l’agriculture.
Le «Groupe pour une politique agricole offensive» est d'avis qu’une ouverture rapide au marché européen, aussi bien pour les produits agricoles que pour les moyens de production, offrirait de meilleures perspectives, non seulement à l’agriculture mais aussi à l’industrie agroalimentaire, qu’une simple poursuite de la politique des petits pas. Le groupe craint que le paquet PA 2011 ne permette pas à lui seul de maintenir les parts de marché actuelles. Si la direction de PA 2011 est certainement la bonne, il faut compléter ce paquet en préparant une ouverture au marché européen par la négociation d’un accord de libre échange pour l’agriculture.
Le groupe s’est formé et travaille sur une base totalement libre. Il est indépendant et les personnes en faisant partie s’engagent dans le débat politique pour faire avancer cette idée. La coordination est assurée par:
- Burger Hans, Ch. de Morvin 2, 1723 Pierrafortscha, Secrétariat
- Janin Jacques, 1052 Le Mont-sur-Lausanne, coordination suisse romande
- Lehmann Bernard, Prof. EPF, 5200 Brugg, conseil scientifique jusqu'au 30.6.2011 (dès le 1.7.2011 Directeur de l'Office fédéral de l'Agriculture)
- Niklaus Ulrich, 8564 Engwilen, coordination suisse alémanique
- Pellaux Michel, 1473 Châtillon, contact secteur de transformation
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